Psalmen
Psalm 139 vers 5
Quand l'aurore m'aurait prêté
Ses ailes, sa rapidité,
Et que j'irai, en fendant l'air,
Aux bords opposés de la mer;
Ta main, s'il te plaît de l'étendre
Viendra m'y poursuivre et m'y prendre.
Quand l'aurore m'aurait prêté
Ses ailes, sa rapidité,
Et que j'irai, en fendant l'air,
Aux bords opposés de la mer;
Ta main, s'il te plaît de l'étendre
Viendra m'y poursuivre et m'y prendre.